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Bruno ALTMAYER


L’Art est le miroir de la société, l’image parfaite du niveau de conscience de l’être qui le pratique et le reflet de celui qui le regarde...


Ma peinture est un regard sur le monde qui m’entoure, mon travail est une vision réaliste de ce qui m’apparaît de grand, de beau dans la nature et de ce qui m’inquiète dans la nature de l’homme et sa propension à vouloir tout dominer, exploiter, même ses semblables.

 

J’ai toujours travaillé dans une facture réaliste, avec des influences surréalistes pour l’aspect psychologique (Magritte) et métaphysique (Dali), avec un attrait particulier pour les romantiques (Friedrich, Géricault...) dans leur rapport inconditionnel de l’Homme à la Nature et un appétit immodéré pour le symbolisme (Moreau, Böcklin), en abordant des thèmes essentiellement écologistes et humanistes.

M’intitulant peintre témoin, pour me différencier des peintres réalistes descriptifs, j’ai souhaité me démarquer par une propension à développer un travail engagé, laissant apparaître ma philosophie de vie, décrite par ce que j’appelle « le deuxième regard ».

J’invite le spectateur, ainsi débarrassé des filtres émotionnels et culturels du jugement, à entrer dans la toile, afin d’y faire un parcours initiatique et conceptuel en déchiffrant les différents éléments constitutifs du sujet.

Le seuil de cette fenêtre ouverte est symbolisé par un encadrement travaillé pour la circonstance et en rapport avec la thématique du tableau.

Mon inquiétude majeure étant l’avenir de nos enfants sur notre belle planète, je trouve dans l’aphorisme de Saint-Exupéry (qu’il a emprunté à un proverbe indien et qui s’apparente à une maxime amérindienne) « Nous n’héritons pas de la terre de nos aïeuls, nous l’empruntons à nos enfants », une urgence absolue qui m’invite à participer au réveil des consciences.

Ceci en nourrissant l’espoir de voir un jour le basculement de la masse critique, le changement de paradigme dans nos esprits, dans nos cœurs et dans nos sociétés.




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